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Créé le : 14/01/2007 12:14
Modifié : 10/02/2007 17:49

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Stewart Copeland

14/01/2007 16:29

Stewart Copeland


Stewart Copeland

Stewart Armstrong Copeland vit le jour à Alexandra (Virginie, USA), le 16 juillet 1952. Son père, Miles, était trompettiste de jazz et avait joué avec le Glenn Miller Orchestra avant de rejoindre l'Intelligence Army durant la deuxième guerre mondiale. Il fut un des fondateurs de la CIA qu'il quitta en 1956. Il mit alors sur pied sa propre agence de renseignements, destinée aux compagnies pétrolières amériacaines du Proche-Orient.
Dès 1965, Stewart grandit à Beyrouth au Liban, et apprit à parler couramment arabe. Il apprit la batterie à l'âge de 13 ans, "jamming" dans des groupes formés par de jeunes américains vivant à Beyrouth. En 1966 ils déménagèrent à Londre. Plus tard Stewart partit à Berkley étudier la musique, les medias et les communications. Le fils aîné connu en tant que Miles Axe Copeland III se lança dans le rock-business comme agent. En 1975 Miles demanda à son frère d'être le tour-manager pour la tournée de Joan Armatrading. Pris par le virus, Stewart devint le tour-manager de Curved Air, un groupe techno-pop sur le déclin. De fil en aiguille, il devint le batteur du groupe et le compagnon de sa chanteuse, Sonja Kristina Toutefois il se rendit vite compte qu'il n'aimait pas le style commercial du groupe, qui gaspillait son argent sur des albums à production coûteuse.
Lorsque le groupe s'arrêta en 1976, il avait déjà des plans pour son propre groupe, The Police.

pour acceder à son site cliquez ici






Andy Summers

14/01/2007 16:34

Andy Summers


Andy Summers

Andrew James Somers est né le 31 décembre 1942. Sa famille s'installa à Bournemouth, et à l'école Andy se spécialisa dans la musique. A 17 ans il fut repéré par Zoot Money et il rejoignit le légendaire Big Roll Band de Zoot, l'un des goupes R&B les plus fins des années soixantes. Plus tard il rejoignit Zoot dans le nouveau groupe Dantalion's Chariot, un essai pour s'ouvrir sur le monde hippie. Puis il joua avec un autre groupe et partit aux Etats-Unis pendant six ans, où il étudia la guitarre classique.
Il revint plus tard à Londre avec sa deuxième épouse Kate, changea son nom en Summers. Il joua avec le Kevin Coyne band et sur des projets comme le "Tubular Bells" de Mike Oldfields. Lorsque le show de Oldfield atteint Newcastle, il rencontra Sting. En 1976 Andy rejoint le Kevin Ayers band, mais lorsqu'il rencontra Sting et Stewart à nouveau, il su qu'il était destiné à faire partie de The Police.

pour accéder à son site cliquez ici






Sting

14/01/2007 17:01

Sting


Sting

Né sous le nom de Gordon Matthew Sumner, le 2 octobre 1951, Sting est l'aîné d'une famille catholique de quatre enfants. La famille vivait dans un quartier de la classe ouvrière et tout ce qui comptait pour Gordon était de s'en échapper. Traditionellement la famille allait comme toutes celles du quartier assister au lancement du navire terminé dans l'année, et Gordon regardait ces grandes choses qui s'en allaient vers le monde et ne revenaient jamais: c'était un symbole de fuite.
Il fut envoyé à St.Cuthbert's Grammar School qui pratiquait une discipline très stricte: ce fut une véritable prise de conscience pour Gordon et une première cassure. Un de ses oncles, avant d'émigrer au Canada, lui tendit sa guitarre en lui demandant d'en prendre soin. A quatorze ans, Gordon apprit à jouer seul sur les disques des Beatles, des Rolling Stones et des Kinks. Puis il découvrit le jazz, qu'il n'apprécia pas, mais cela "faisait bien". Finalement il se passionna pour le dixieland et le blues, et il s'acheta une basse. En 1963 sa famille déménagea dans une banlieue résidentielle: comme les autres, Gordon s'essaya au piano, sans résultats.
Après avoir laissé tomber l'université il commença à jouer de la basse la nuit, tout en conservant plusieurs jobs la journée. Il travailla six mois sur un chantier de construction, puis dans une usine de petits pois, et atterrit dans l'administration du Trésor. Il détestait ça et sagement, décida de s'inscrire, en 1971, dans une école normale. Toutefois son coeur se trouvait plutôt avec des musiciens de jazz au "Wheatsheaf", un pub local où l'on jouait du jazz traditionnel. Quelques fois il participait à la contrebasse à des morceaux du Phoenix Jazzman et finalement il fut invité à joindre le groupe avec sa guitarre électrique. Sur scène il portait souvent un tee shirt rayé qui le faisait ressembler à une abeille, et le tromboniste du groupe le surnomma "Sting". Sting se fit rapidement un nom, au point de pouvoir jouer avec le groupe numéro deux de la ville, les Riverside Men, avec lesquels il découvrit les ragtimes endiablés et le swing. Sting acheva ses trois ans de cours durant lesquels il gagna de l'expérience en enseignant dans un collège de jeunes filles. C'est cette période qui l'amena à écrire "Don't Stand So Close To Me", idée venue en lisant Nabokov. Il prit ensuite un poste d'enseignement dans une école primaire, et gagna un revenu supplémentaire en continuant à jouer du jazz. Bientôt il put se joindre au groupe numéro un de sa ville, le Newcastle Big Band. En six semaines il apprit à s'habiller plus sobrement et à lire parfaitement la musique. Le groupe se produisit en France et mit bientôt en boîte un album en public vendu à deux mille exemplaires (aujourd'hui introuvable).
En 1974 il forma son propre groupe de jazz: Last Exit. Sting commença à écrire des chansons et à chanter, développant son propre style vocal, qu'il déclara plus tard être hautement influencé par l'artiste de jazz Cleo Laine.
En 1976 le Big Band éclata. Cette même année Sting rencontra et épousa l'actrice Frances Tomelty. Lorsque Frances tomba enceinte, Sting décida de quitter son travail d'enseignant et de se consacrer à la musique. Il emmena Last Exit à Londre et l'une de leurs apparitions valurent à Sting un article dans la presse musicale. Il en profita pour aller voir des maisons de disques et laisser des maquettes. Virgin le signa en édition, bien qu'ils ne soient pas intéressés par le groupe. De retour à Londre, Last Exit ouvrit le spectacle du Manchester Symphony Orchestra donnant "Tubula Bells". Le guitariste électrique en était un certain Andy Summers. Stewart Copeland, quelques mois plus tard, vint jouer à Newcastle. En se balladant un soir, il alla à la Newcastle Polytechnic, assister à un "gig" de Last exit, il fut très impressionné par la performance de Sting. Stewart finit par convaincre Sting par téléphone de venir à Londre. Sting y emmena donc sa femme et leur bébé, avec l'espoir de pouvoir vivre avec le produit de sa musique.

pour accéder à ses sites :

http://listing.free.fr

http://www.stingus.net

 

 






zenyatta mondatta

20/01/2007 21:14

zenyatta mondatta


Dès que les enregistrements commencèrent, il fut clair qu'il y avait des probmes. Le groupe avait débuté une tournée en janvier 1980, avait visi 37 villes et 19 pays. Ils avaient eu peu de temps pour écrire des chansons. Il fallut 2 mois de pause pendant lesquels Sting travailla sur l'album. Au but des enregistrements, le groupe était fatig et ce fut un travail difficile de trouver la motivation pour finir l'album. Ils le finirent à 4 heures du matin le jour de départ de leur nouvelle tournée.
Malgré la pression ou peut-être grâce à elle, le groupe ca une musique mouvelle, et l'album se retrouva premier pendant 4 semaines aux UK charts en automne 1980. Aux etats-Unis, l'album resta au top 20 pendant 6 mois. Il fut vendu à un million d'exemplaires.

Don't Stand So Close To Me

C'est un concept brillant, une chanson de tentation et frustration à propos d'un professeur et d'une de ses élève. En fait Sting mentionne Vladimir Nabokov, l'auteur controversé d'un livre sur l'amour interdit d'un intellectuel pour une enfant de 12 ans.
"Th
e accusations fly" est l'avertissement délivré par Sting lorsqu'il racconte le développement de ce désastre humain.

D
riven to Tears

Une
expression de rage face au spectacle d'enfants mourant de faim au Tiers-Monde, amen6eacute; dans l'ouest par les miracles de la télévision. On peut fournir la technologie mais pas la nourriture...

When the World Is Running Down, you Make The Best Of What's Still Around

Un
morceau qui présente une partie rythmique de Police à son plus haut niveau.

C
anary In A Coalmine

Un
morceau vivant et amusant. Sting racconte que l'objet de son affection mène sa vie comme un canari, devenant si étourdie que marcher sur une ligne droite en devient difficile.

Voices Inside My Head

U
n morceau plutôt instrumental.

B
ombs Away

C'est un assaut de mots forts: "The General scratches his belly and thinks, his pay is good but his officers stink... The President looks in the mirror and speaks, his shirts are clean but his country reaks."

De Do Do Do, De Da Da Da

I
l n'y a pas de message caché derrière ces mots. Sting expliqua que cette phrase sans signification est parfois dans l'amour, tout ce qu'on a envie de dire à l'autre, en mettant de côté les mots fins de poète pour révéler une inocence perdue.

Be
hind My camel

T
hème de guitarre mystérieux écrit par Summers.

Man In A Suitcase

Bruit ambiant d'annonces alors que Sting proteste contre la vie, à habiter dans une valise. "Must I be a man with a strange's face?". ce morceau vise sans doute l'agent du groupe, occupé à arranger des concerts d'un bout à l'autre du monde.

Shadows In The Rain

Un
retour au reggae ponctpar des notes de piano.

T
he Other Way Of Stopping

U
n instrumental.





ghost in the machine

27/01/2007 17:25

ghost in the machine


Lorsque le groupe se lança dans la composition de cet album, ils avaient déjà atteint le sommet: leurs albums se vendaient par millions et ils étaient acclamés dans des dizaines de pays lors de leurs tournées. Tout cela résulta en une pression considérable et il était difficile de trouver l'inspiration. Ils avaient été loin des studios pendant longtemps et Sting avait également eu à faire avec le cinéma et la télé.
Finalem
ent le 15 juin 1981 il partirent pour Montserrat dans les Caraïbes, pour travailler dans le célèbre studio AIR.
Le titre "Ghost In The Machine" se réfère à l'esprit humain dans la musique, exprimé à travers les facilités technologiques d'un studio d'enregistrement.

Spirits
In The Material World

Le tit
re de ce morceau en a été inspiré par l'ouvrage d'Arthur Koestler, "Le zéro et l'infini". Le son est très futuriste.

Eve
ry Little Thing She Does Is Magic

C'est
une chanson d'amour avec de continuelles corrections de cours et des tournants intriguants. L'air mélancolique est encore renforcé et embelli par la présence du piano.

In
visible Sun

Cette c
hanson fut inspirée par les événements en Irelande du nord, alors en pleins troubles. "I don't want to play the part, just a statistic on a Government chart", c'est le besoin d'échapper d'un enfer urbain lorsque l'on grandit dans une pareille violence. La guitarre funk d'Andy crie avec colère par dessus les cymbales explosives alors que Sting chante à voix basse son message d'espoir: "There has to be an invisible sun that gives us hope when the whole day's gone".

Hungry
For You (J'aurais toujours faim de toi)

Morceau t
rès funk, chanté en français. Selon Sting, le français est une bien meilleure langue que l'anglais pour exprimer les pensées érotiques.

Demo
lition Man

Des passa
ges avec saxophone, joué par Sting.

To
o Much Information

Un pamphlet effréné sur la saturation médiatique.

Rehumaniz
e Yourself

Encore u
n morceau qui traite de la robotisation des rapports.

One W
orld (Not Three)

C'e
st sur un rythme reggae que ce morceau dénonce la division du monde en zones imaginaires. "One world is enough for all of us".

Om
egaman

Da
ns l'alphabet grec, omega est la dernière lettre. Cette chanson se réfère sans doute au dernier homme survivant à la race humaine.
O
n note des accords inhabituels, un tempo un peu brusqué.

Se
cret Journey

Utilis
ation de synthétiseurs pour la première fois sur un album de Police.

Darkness

Ce morceau commence avec des accords chauds. La performance vocale du chanteur et le son de la basse et des percussions crèe une atmosphère mystérieuse.





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